désir féminin : le blog

Voyage érotique privé

Voyage érotique privé

L’évocation de villes étrangères ou de voyages peut donner davantage de sensualité à nos fantasmes pour plusieurs raisons :

1. Exotisme : 

Les destinations étrangères sont souvent associées à l’exotisme et à l’inconnu, ce qui peut éveiller la curiosité et stimuler l’imagination. L’idée d’explorer de nouveaux horizons et de découvrir des cultures différentes peut être excitante et ajouter une dimension sensuelle à nos fantasmes.

2. Romantisme : 

Les voyages sont souvent perçus comme romantiques, car ils offrent des opportunités de partager des moments intimes avec un partenaire ou de vivre des aventures passionnantes. L’idée de se retrouver dans un cadre pittoresque, entouré de paysages magnifiques et de lieux romantiques peut stimuler notre imagination et éveiller notre sensualité.

3. Liberté et évasion : 

Les voyages sont souvent associés à un sentiment de liberté et d’évasion de la routine quotidienne. Ils offrent l’opportunité de s’éloigner de nos responsabilités habituelles et de se laisser aller à de nouvelles expériences. Cette sensation de liberté peut renforcer notre capacité à fantasmer et à explorer des scénarios plus audacieux et sensuels.

4. Nouvelles rencontres : 

Les voyages peuvent être l’occasion de rencontrer de nouvelles personnes et de vivre des rencontres inattendues. L’idée de se laisser emporter par une aventure passionnée avec un étranger ou de succomber à une liaison torride lors d’un voyage peut ajouter une dimension excitante à nos fantasmes.

5. Dépaysement sensoriel : 

Les villes étrangères ont souvent une atmosphère distincte avec des sons, des odeurs, des saveurs et des textures différentes de celles que nous trouvons dans notre environnement quotidien. Ces éléments sensoriels peuvent stimuler notre imagination et nourrir nos fantasmes en créant des scénarios plus intenses et sensoriels.

NEW YORK

New York peut être considérée comme une ville érotique ou qui éveille le désir pour plusieurs raisons :

  1. L’atmosphère cosmopolite : New York est une métropole internationale dynamique, connue pour son ambiance animée et son énergie palpable. Cette atmosphère cosmopolite crée un sentiment de liberté et d’excitation propice à l’éveil du désir. Les quartiers tels que Manhattan, avec leurs gratte-ciel imposants et leurs lumières scintillantes, créent une toile de fond suggestive pour des fantasmes érotiques.

  2. L’effervescence culturelle : La ville de New York est un véritable melting-pot culturel. Elle abrite une multitude de musées, de galeries d’art, de théâtres, de clubs et de lieux de divertissement, offrant ainsi une richesse culturelle et artistique incomparable. Cette effervescence culturelle peut stimuler l’imagination et susciter des fantasmes liés à des expériences sensuelles et intellectuelles.

  3. La vie nocturne : New York est réputée pour sa vie nocturne trépidante. Les bars, les clubs, les restaurants et les lounges branchés de la ville offrent une multitude d’opportunités pour socialiser, rencontrer de nouvelles personnes et s’immerger dans une ambiance séduisante. Les rencontres inattendues, les flirts et les aventures éphémères qui peuvent découler de ces soirées peuvent alimenter les fantasmes érotiques.

  4. La diversité : New York est une ville cosmopolite et diversifiée, où l’on trouve des cultures et des communautés du monde entier. Cette diversité est souvent perçue comme stimulante et attirante sur le plan sensuel. L’idée de découvrir de nouvelles cultures, de rencontrer des personnes d’horizons différents et d’explorer des expériences sensuelles variées peut être un puissant moteur pour l’éveil du désir.

  5. Les lieux emblématiques : New York regorge de lieux emblématiques qui sont souvent associés à des scènes sensuelles dans le cinéma, la littérature et l’imaginaire collectif. Des endroits tels que Central Park, Times Square, le pont de Brooklyn ou les toits des gratte-ciel offrent des décors propices à la romance et à l’éveil du désir.

Pour les personnes qui souhaitent tester tenter ce fantasme, nous vous conseillons l’épisode :

APPEL 49 : NEW YORK AVEC TOI
Votre amant vous retrouve à New York. Il vous séduit, puis vous entraîne dans une promenade à travers la ville… et… ça va devenir… chaud;

fantasme violent (enlèvement, rapt, viol…)

fantasme violent (enlèvement, rapt, viol…)

Le fantasme d’être enlevée est une forme de fantasme sexuel qui peut être exploré par certaines femmes, ainsi que par certains hommes. Il est important de souligner que les fantasmes sont des constructions mentales et des expressions de la sexualité qui varient d’une personne à l’autre. Les fantasmes ne reflètent pas nécessairement les désirs ou les préférences dans la réalité.

Il existe différentes théories et interprétations sur les raisons pour lesquelles certaines personnes, y compris des femmes, peuvent avoir ce type de fantasme. Voici quelques points à considérer :

  1. Excitation liée au pouvoir et au contrôle

    Certains individus peuvent trouver une excitation sexuelle dans des scénarios où ils sont dominés ou soumis, et le fantasme d’être enlevée peut être une expression de ce désir. Il peut y avoir une stimulation érotique liée à la perte de contrôle et à la confiance accordée à un partenaire.

  2. Évasion de la responsabilité

    Dans certains cas, le fantasme d’être enlevée peut être une façon pour certaines personnes de s’évader temporairement de leurs responsabilités quotidiennes ou de leur identité habituelle. Cela peut permettre de créer une rupture avec la réalité et de vivre des expériences imaginaires plus excitantes ou stimulantes.

  3. Exploration de la sécurité émotionnelle : 

    Le fantasme d’être enlevée peut également être lié à la recherche de sécurité et de protection. Certaines personnes peuvent éprouver une excitation à l’idée d’être désirées à un point tel que quelqu’un serait prêt à les “enlever” pour les garder en sécurité.

LES FANTASMES

Il est important de noter que les fantasmes sont des constructions personnelles et que chaque individu peut avoir des motivations différentes. Les fantasmes ne doivent être explorés que dans un cadre consensuel et respectueux, où toutes les parties impliquées ont donné leur consentement éclairé.

Si vous avez des questions ou des préoccupations concernant les fantasmes ou toute autre question liée à la sexualité, il est toujours recommandé de consulter des professionnels de la santé spécialisés, tels que des sexologues ou des thérapeutes, qui peuvent fournir des conseils adaptés à votre situation spécifique.DES 

Pour les personnes qui souhaitent tester tenter ce fantasme, nous vous conseillons l’épisode :

APPEL 106 : RAVISSANT RAVISSEUR 
Une de nos dernières discussions n’arrête pas de tourner dans ma tête… Quel en était le sujet ? Le rapt, l’enlèvement, la contrainte.
Tu m’avais dit que tu trouvais excitante l’idée d’être enlevée,  que ca te plairait de vivre quelque chose de très fort émotionnellement. Que tu avais envie de jouer avec la peur, avec les interdits , de jouer avec une certaine violence aussi. Moi je suis naturellement doux, et habituellement c’est plutôt les fantasmes romantiques que je sais mener pour toi . Mais je crois que pour te plaire je serais capable de  t’ imaginer ce scénario dans lequel, un parfait inconnu pourrait t’enlever.

Camille (histoire)

Camille (histoire)

Suivez l’histoire de l’apprentissage érotique de Camille, un personnage à la recherche de lui-même, prêt à tout pour se trouver.

Chapitre 1 - par Alexis Himeros

Quand on m’a foutu à la porte, j’ai serré les dents. D’abord je me suis dit que c’était bien fait pour moi, que tout était ma faute, que c‘était la fin, ou alors le début de la fin. J’ai regardé mon père qui ne m’a pas rendu mon regard. Tout mon corps tremblait. Son secrétaire particulier m’a escorté.e jusqu’à la grille de la villa Montmorency. Il semblait désolé. 

 

Jusqu’à ce jour, ce coin très privé du seizième arrondissement de paris, ç’avait été chez moi. À présent ça ne l’était plus. Tout ça à cause d’une chanson, une histoire de musique, de course après un rêve. Et mon papa, les rêves, il n’y croit pas. Dans ma famille c’est comme ça. Ils sont pragmatiques. On laisse les rêves aux rêveurs. Bon quand je dis MA famille je parle des quelques membres que j’ai pu rencontrer … parce que si ma famille est nombreuse je n’ai pourtant jamais connu les frères et les sœurs de mon père. Ma mère est morte quand j’étais encore enfant. J’ai très peu de souvenirs d’elle. Ensuite c’est mon père, seul, qui m’a élevé.e 

 

Quand on croit que porter un nom à particule vous ouvre toutes les portes. On se trompe. Pas de nos jours en tous cas. Parfois je me dis que je me suis trompé.e d’époque que tout aurait été plus simple pour moi dans l’autre millénaire … mon enfance a très été compliquée… à qui la faute ? Ça ne sert à rien de blâmer les absents. Mon père m’a souvent laissé.e me débrouiller. Son travail l’a toujours accaparé non-stop. Et puis, ses copines aussi. Des femmes légères comme on les appelle. Quand j’étais plus jeune, je m ‘ émerveillais de les voir débarquer à la maison, tard dans la nuit, avec leurs robes à paillettes, à la main l’éternelle coupe de champagne de la bouteille ouverte dans la limousine. Je regardais ce spectacle depuis une des mezzanines de la maison, quand rôdait l’une de mes insomnies. De voir mon père les désirer, les déshabiller ça m’apportait la preuve qu’il était sans doute un être humain malgré tout. Le reste m’importait peu. 

 

Ma mère… je m’en souviens peu, disparue trop tôt. Ensuite je n’ai eu personne à mes côtés pour me rassurer ou pour m’aider à me lier avec les enfants de mon âge quand je n’y parvenais pas. Plus tard, ado, je n’ai jamais fréquenté les cercles où se retrouvaient les jeunes aristos de mon quartier. Je n’ai pas participe aux rallyes organisés par leurs parents qui tout comme leurs rejetons me trouvaient trop rebelle, inclassable, en dehors des cases.

De toute façon, les Enguerrand, Marie-Charlotte, Evrard, Ysaure et moi, on ne s’était jamais entendus.

 

La période où tout le monde s’embrasse, je ne me rappelle pas trop pourquoi mais je ne l’ai pas traversée. Et quand à cette période a succédé celle où chacun parle de cul, je n’étais toujours pas convié.e à participer aux conversations. Mais je m’en foutais. Ça m’arrangeait bien de pas rentrer dans le moule.

 

C’est pour cette raison …lorsque je me suis retrouvé.e sur le trottoir j’ai reconnu immédiatement ce sentiment, il m’était familier, c’ était celui de l’exclusion. Je le ressentais depuis toujours. Se sentir différent. Hors cadre. Hors norme. Incompris. Mis.e au ban. Pour le coup ce bannissement du domicile paternel ne faisait que rajouter du rejet au rejet. 

 

Il y a des événements qu’on redoute tout en ne s’y préparant jamais. Quand ils nous tombent dessus, on est toujours surpris, sidérés, comme si on n’avait pas été prévenu. Comme l’abandon et la mort : on sait que ça va nous arriver un jour ou l’autre mais quand ça arrive ça nous fait quand même un mal de chien… après tout voir mourir quelqu’un à qui on tient où être quitté.e c’ est presque pareil… si quelqu’un vous laisse, il y a toujours ce deuil à faire. Ce que je vivais n’en était encore qu’une variante. 

Tu crois être chez toi, tu ne fais pas attention aux voyants d’alerte qui clignotent depuis un moment pour te signaler que peut être, non, tu n’es pas vraiment chez toi, et soudain il y a cet instant où tu es jeté.e hors de ton foyer où tu dois apprendre une nouvelle vie. Brutalement. La peur au ventre. 

 

Une valise et un sac à dos. C’est tout ce que j’ai eu le droit d’emporter avant d’être congédié.e. J’allais payer le prix de ma différence. A croire que riche ou pauvre, il y a des sujets qui mettent tout le monde d’accord : celui qui sort légèrement du rang, faut s’en débarrasser. On le dissimule comme une maladie honteuse. On l’élimine comme un parasite. C’est sans doute ce qu’a pensé mon père, fatigué de ne pas réussir à me faire ressembler à tous ceux qu’il me montrait en exemple. Désolé.e papa. Si à 20 ans ceux de mon milieu savent déjà qui ils sont et qui ils vont devenir. Moi pas. C’est raté, moi je n’en sais foutre rien.

 

Ce que je sais en revanche c’est la sensation de ce grand vide qui grandit en toi, qui t’empêche de respirer, de réfléchir, de te trouver, de te retrouver. 

 

« Votre titre de transport ! Euh. Vous, là »

Un agent de la RATP m’a hurlé dans les oreilles. Ce “vous” je le connais trop bien. C’est celui du mépris. Celui du dédain. De l’inconsidération. “vous la chose”. “vous le truc bizarre”. L’extra-terrestre. C’est comme ça qu’on m’ a appelé.e au collège. On dit Un ou une Extraterrestre 

Grammaire neutre, espèce épicène. Tout comme moi qui n’ai jamais trop su où me situer. Errer dans cette zone pas si grise me permet de vivre des histoires avec des personnes qui me plaisent, tout simplement. Peu importe ce qu’on pense de mon genre, ambigu, de mon corps, androgyne, de mes goûts ambivalents. Disons que… je m’amuse d’une légère fluidité dans laquelle je m’épanouis parfaitement sans me poser trop de questions.

 

Ai-je embrassé des hommes ? Oui. Des femmes ? Oui, aussi. Ai-je dormi dans les draps des deux sexes ? Ai-je couché avec ceux qui ne s’en réclame d’aucun ? Oui, naturellement. Et c’est ce naturellement qui ne passe pas. Ce serait risible si cela ne m’arrachait pas les tripes quand j’y pense. Ai-je reçu du soutien de la part de mes proches ? Absolument pas Le paternel ne comprend pas cet état de fait. Pour lui, c’est impensable, c’est répugnant, je suis l’image même de la déchéance. Et cerise sur le gâteau, je chante. Son enfant, un artiste… inadmissible. Quand je lui ai avoué que j’allais bientôt passer à la télé dans un concours de chant, mon père s’est imaginé la scène : sa progéniture outrageusement maquillée apparaissant sur le petit écran à une heure de grande écoute… insupportable.

 

D’ailleurs, il n’en a pas supporté l’idée. C’est comme cela que je me suis retrouvé.e en route pour Noisy le Grand. Pour tous ceux qui vivent Villa Montmorency, traverser Paris c’est déjà la grande aventure, alors se rendre en banlieue, ça dépasse l’entendement c’est tout à fait inconcevable. C’est pourtant bien là où je suis allé.e. Dans une maison squattée, où vit une des deux seules personnes qui m’ait tendu la main ces quelques dernières semaines, Livio.

 

Pourtant chez lui, je n’y vais pas de gaité de cœur. Chez Livio, d’habitude, je n’y vais pas. L’endroit où il habite, je ne savais même pas que ça existait. Ai-je déjà mentionné que c’était un squat sa maison ? Ah oui…

Quand je lui ai demandé l’adresse, il a eu l’air étonné mais il n’a pas posé de questions. Peut-être parce que je pleurais trop au téléphone. Le caractère d’urgence a dû lui paraître évident. Ma vulnérabilité aussi. C’est un truc qui plait à Livio, les gens vulnérables. Ça lui permet d’asseoir son autorité, de jouer de son paternalisme à la con, d’étendre son influence, même néfaste. De lui je connais les phrases qui font du bien et les caresses qui font mal. Celles qu’il donne comme celles qu’il réclame. Après… Moi le cul… Je m’en fous. Mon corps aussi je m’en fous. Ce n’est qu’une enveloppe. À cette loterie j’ai eu le lot de consolation. Pourtant c’est ce qui l’excite, Livio. Un peu trop. La dernière fois que je l’ai vu, comme il m’avait donné quelques cachetons pour me détendre, et que je n’avais rien pour payer – et même que je pensais que c’était cadeau ! – j’ai dû me mettre à genoux. Oh pas longtemps. C’était drôle même quand j’y pense. Il voulait simplement se caresser contre ma joue. Un truc de perv. Mais je m’étais juré ensuite d’éviter tout rapprochement avec lui. Et puis… il m’a envoyé plein de messages. Un peu pour s’excuser. Un peu pour m’expliquer qu’il était là pour moi, mais qu’il fallait que je suive certaines règles. C’est un gars comme ça Livio. Il a besoin de contrôler. Freud doit avoir des théories là-dessus. Enfin j’imagine. Je ne comprends rien aux psys et à la psychanalyse…

 

Après la mort de ma mère quand j’avais quatre  ans, j’ai vu un psychologue puis un autre, puis un autre encore, puis on a arrêté ces conneries. De toute façon mon père n’avait pas le temps de me conduire à mes séances… il avait ses copines. Je repensais à tout ça dans le RER a en direction de marne la vallée, entre une mère de famille déprimée et deux gars qui se filmaient pour Tiktok.

Faut être dingue pour filer chez un gars qu’on redoute autant qu’on l’aime. La faute à pas le choix. Je ne connais rien aux us et coutumes de ceux qui dorment sous les ponts et Livio est une des rares personnes qui puisse m’aider. Alors, même si je n’ai pas tout à fait confiance, j’y vais. De toute façon, Celia n’a pas encore répondu. Elle ne me répond jamais de suite. Toujours un jour de délai. Je fais avec. C’est comme pour tout : je m’adapte.

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méditation du soir pour trouver l’amour

méditation du soir pour trouver l’amour

La romance, ou l’amour, est un aspect important de la vie humaine. Cependant, il peut être difficile d’être ouvert(e) à la romance lorsque notre esprit est préoccupé par le stress, les soucis du quotidien ou les pensées négatives. C’est là que la méditation peut jouer un rôle clé en nous aidant à être plus présents, détendus et ouverts à l’amour. Dans cet article, nous explorerons l’importance de la méditation dans la création d’un état d’esprit propice à la romance, en utilisant des techniques de pleine conscience pour cultiver l’amour de soi et améliorer nos relations amoureuses.

La méditation pour cultiver l’amour de soi

L’amour de soi est un élément essentiel pour être ouvert(e) à la romance. Lorsque nous nous aimons et nous acceptons nous-mêmes, nous sommes plus enclins à attirer des relations saines et épanouissantes. La méditation peut nous aider à cultiver l’amour de soi en nous permettant de nous connecter avec nous-mêmes de manière profonde et aimante.

La méditation de pleine conscience, qui consiste à être pleinement conscient(e) du moment présent sans jugement ni distraction, peut nous aider à nous observer nous-mêmes avec bienveillance. En prenant le temps de nous asseoir en silence, de respirer profondément et de nous concentrer sur notre ressenti et nos émotions, nous pouvons développer une meilleure compréhension de nous-mêmes et de nos besoins émotionnels. Cela peut nous aider à développer une relation plus saine et aimante avec nous-mêmes, en nous permettant de reconnaître et d’accepter nos défauts et nos imperfections.

Une fois que nous nous aimons et nous acceptons nous-mêmes, nous sommes mieux préparés à attirer et à entretenir des relations amoureuses épanouissantes. Nous sommes moins enclins à rechercher la validation et l’amour des autres pour combler nos propres lacunes, et nous sommes plus ouverts à aimer et être aimé(e) sincèrement.

La méditation pour améliorer les relations amoureuses

En plus de cultiver l’amour de soi, la méditation peut également améliorer nos relations amoureuses existantes ou potentielles. La méditation de pleine conscience peut nous aider à développer des compétences importantes pour la communication et la connexion émotionnelle, ce qui est essentiel dans les relations amoureuses.

Lorsque nous sommes pleinement présents et conscients de notre partenaire, nous sommes mieux à même de les écouter activement et de comprendre leurs besoins et leurs émotions. La méditation nous permet de ralentir, de prendre du recul et de réduire les distractions mentales, ce qui nous permet de nous connecter plus profondément avec notre partenaire et de développer une meilleure compréhension mutuelle.

La méditation peut également nous aider à gérer les conflits et les tensions dans nos relations amoureuses. En nous permettant de développer une meilleure maîtrise de nos émotions et de notre esprit, nous sommes mieux préparés à faire face aux défis relationnels avec calme et compassion.

La méditation est une pratique millénaire qui vise à calmer l’esprit, à cultiver la présence attentive et à favoriser la relaxation et le bien-être. Les podcasts érotiques, en revanche, sont des contenus audio qui ont pour objectif d’évoquer la sexualité et l’érotisme de manière suggestive ou explicite. Bien que ces deux sujets puissent sembler divergents, il ont bien des liens entre eux !

Les avantages de méditer

Pour certaines personnes, l’écoute de podcasts érotiques peut être une expérience intime et stimulante. Elle peut susciter des sensations agréables et éveiller la sensualité. La méditation, quant à elle, peut être utilisée pour favoriser la détente et la concentration. Certains peuvent donc envisager d’utiliser des podcasts érotiques comme un moyen de se détendre et de se recentrer tout en explorant leur sensualité.

De plus, la méditation peut aider à cultiver une conscience accrue de soi et de ses sensations corporelles. En combinaison avec des podcasts érotiques, cela pourrait permettre de développer une plus grande présence attentive à ses sensations sexuelles et à son expérience sensorielle. Cela pourrait potentiellement aider à approfondir la connexion avec son propre corps et sa propre sensualité.

En outre, il convient de noter que les podcasts érotiques sont généralement destinés à un public adulte et peuvent contenir du contenu explicite et sexuellement suggestif. Il est donc important d’être conscient des normes et des limites personnelles en matière de sexualité et de respecter ces limites lors de l’écoute de tels contenus.

Combiner méditation et podcasts érotiques

En somme, la combinaison de la méditation et des podcasts érotiques peut être controversée et présenter des avantages potentiels ainsi que des inconvénients. Il est important de prendre en considération ses propres besoins, ses limites et ses valeurs personnelles avant de décider d’utiliser ces deux pratiques ensemble. Il est également essentiel de respecter les normes de contenu explicite et les limites personnelles en matière de sexualité. Si vous souhaitez explorer votre sensualité tout en utilisant la méditation, il peut être préférable de rechercher des pratiques de méditation spécifiquement conçues pour la sexualité, qui peuvent offrir une approche plus ciblée et adaptée à vos besoins. En fin de compte, il est important de respecter votre propre confort et de choisir les pratiques qui vous conviennent le mieux.

couple : Communiquer ses désirs avec un livre érotique

couple : Communiquer ses désirs avec un livre érotique

ÉCHANGES, le nouveau livre éphémère du podcast Le Son du Désir, est un ouvrage unique en son genre.

Les 16 histoires érotiques racontées dans ce recueil peuvent être lues en solo, mais aussi en duo. La force d’ÉCHANGES, c’est d’offrir un plus, la possibilité d’une lecture partagée, conjointe.

Chaque chapitre se présente sous la forme d’une correspondance sensuelle entre deux personnages. Ces échanges brûlants se font par le biais d’une lettre, un e-mail, un sms ou même un appel téléphonique. Quand leurs auteurs se répondent tour à tour, cela donne à lire des conversations intimes passionnées qui peuvent s’interpréter à voix haute, à deux.

« Ce livre est une occasion de communiquer avec son partenaire, en mettant dans sa bouche les mots d’un ou d’une autre, des phrases qu’on s’interdit habituellement de prononcer » explique Alexis Himeros, l’auteur d’ÉCHANGES. « J’ai écrit ces saynètes pour qu’on s’en empare comme dans un jeu de rôle. Je crois davantage pour faire naître le désir au pouvoir de la parole dite, chuchotée qu’à celui d’une vidéo avilissante. »

Comme APPELS, le Tome 1 de cette collection qui l’a précédé en décembre et qui a trouvé près de 500 lecteurs, cet ouvrage de littérature érotique contemporaine est une édition limitée dans le temps. Fin avril 2023, après 2 mois de vente, son auteur supprimera définitivement l’exploitation commerciale de ce recueil inédit.

ECHANGES est un livre réservé uniquement aux adultes en vente sur AMAZON

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ÉCHANGES – Appels #2
 de Alexis Himeros
EN VENTE UNIQUEMENT EN LIGNE
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Livre broché – 139 pages
Prix : 14,99€

Venise érotique

Venise érotique

On vous offre une histoire à lire, celle du centième épisode d’Allô ma chérie, dans son intégralité !

Appel 100 : la petite mort à Venise

par Alexis Himeros


Et si vous veniez à Venise ? As-tu remarqué mon vouvoiement. Et pourquoi ne te vouvoierais je pas dans cette histoire que je te propose? 

Cela commencerait par un voyage en train de nuit, on traverserait la France, puis l’Italie et on se retrouverait au petit matin juste ici, sur le pont du Rialto vidé de ses touristes et déserté par ses marchands de babioles et autres revendeurs en bimbeloterie. Comment un tel prodige pourrait-il s’accomplir ? Grâce à un petit miracle : nous allons simplement remonter le temps. Pas seulement de quelques heures, d’une dizaine d’années ni même d’un siècle. Nous allons en fait voyager bien au-dessus de notre temps, ma chérie. Prépare-toi… je t’emmène découvrir la Sérénissime au temps de Casanova, je t’entraîne à ma suite pour le XVIIIe. N’oublie pas ta robe de brocart, ta Moretta, le masque de velours noir porté par les femmes et ton tricorne. 

Le carnaval de Venise vient de s’ouvrir et il n’y a qu’avec toi que je pourrai vivre cette aventure.

Le carnaval de Venise

Cela fait des jours que je t’attends. Tu ne le sais pas encore mais je compte sur toi pour jouer un rôle important dans le dénouement d’un événement majeur qui s’est déroulé à cette époque. Des ton arrivée je t’en apprendrai davantage. J’imagine que tu es en route, assise dans le confortable fauteuil recouvert d’un tapis précieux d’une gondole menée par un gondolier silencieux. L’eau est calme sur le grand canal. Et les brumes de Venise en hiver t’enveloppent de leurs écharpes humides. A travers elles, tu remarques que tous ceux qui se pressent sur les quais portent le Tabarro, cette large cape vénitienne noire qui recouvre la tête et les épaules. Certains hommes ont le visage dissimulé par le Volto, un énigmatique masque blanc. De nombreuses femmes, elles, ont leurs traits confisqués par un voile de dentelle sombre. Elles sont anonymes et libres. Aristocrate ou camériste ? Femme du peuple ou fille de joie ? La plupart du temps il est impossible de savoir qui est qui. Ces yeux qui brillent au milieu du Bauta appartiennent-ils à une noble Dame ? En dessous de l’horizon de cet éventail de soie peinte est-ce le sourire d’un chevalier qui se cache ? Il est illusoire que de tenter de le deviner. Vais-je seulement pouvoir te reconnaître ? 

Je t’attends à l’écart de l’agitation, entre le rio San Luca et le Grand Canal, où est niché le théâtre San Benedetto qui accueillent les opéras les plus prestigieux de ce temps. Ton embarcation glisse sur l’eau. Enfin, tu accostes. Tu ne m’identifies pas au prime abord, puisque moi aussi, je porte le Bauta, le Tabarro et le tricorne. Je te tends une main pour t’aider à débarquer.

« Madame, venez je vous prie. Je dois vous entretenir d’un sujet important. Un de nos amis commun est emprisonné sous les plombs, les cellules du dernier étage du Palais des Doges. Nous sommes quelques gentilhommes de fortune qui depuis des semaines déjà, planifions son évasion. Ce ne sera pas chose aisée, cependant, nous comptons profiter de la confusion qui règne toujours les soirs de fête pour faciliter sa fuite. C’est là que vous entrez en scène. A cette heure je ne puis discourir avec vous plus longtemps sur ce chapitre mais répondez simplement à ma question. Accepteriez-vous, le temps de cette aventure d’endosser la peau de la courtisane honnête, d’être comme Guilia la lombarde une “ putain somptueuse” ? »

Je te vois sourire. Tu sais très bien ce qu’est une courtisane honnête, la « cortigiana onesta ». En Italie, depuis la Renaissance et jusqu’ au XVIIIe siècle. des femmes respectables et respectées évoluent dans les hautes sphères aristocratiques faisant commerce de leur corps tout en jouissant d’une position sociale enviée dans la société. Nombreuses de ces « amies de cour » sont conviées à la soirée qui doit commencer bientôt. Comme seule réponse à ma proposition, tu acquiesces d’un air entendu. 

la place Saint Marc et le Palais des Doges

« Venez mon amie. Ma si belle et douce amie. Le Palais des Doges est à quelques minutes d’ici. Allons-y à pied. Prenez mon bras je vous prie. »

Nous marchons sous les arcades qui bordent la place Saint Marc. Je te regarde, cherchant tes yeux dans leur écrin de dentelle. Imperceptiblement, nous ralentissons le pas. Cela faisait bien longtemps que nous ne nous étions pas retrouvés. Avant que ta mission ne commence, tu me voles un baiser où tu viens puiser du courage. Ému, j’attrape ton bras avant que tu n’avances plus loin.

« Ma chérie, sachez que je ne souhaite rien de plus au monde qu’être votre humble serviteur. Je suis tout à vous pour ce qui touche au domaine de la passion. » 

C’est moi maintenant qui t’embrasse. Ton dos plaqué sur le mur tu sens sa fraicheur, tu éprouves l’humidité de sa pierre, tu goûtes sa force minérale qui vient se fondre à l’organique de nos corps. Je te saisis. D’un bras que je glisse autour de ta taille je te soulève. Nos bouches se savourent, nos langues aiguisées comme des armes, joutent, démultipliant notre plaisir. Comme il est bon à partager ce baiser ! 

Mais le temps presse. Nous avons rendez-vous dans l’une des salles du Palais des Doges où se tient une réception. Il s’agit d’un bal, prétexte pour tous et chacun, à s’effleurer, à se frôler, à s’échauffer et à se prendre. Toute rencontre cependant est muette. Tout geste aussi osé soit-il doit s’accomplir dans le silence. Ainsi sont établies les règles du Carnaval.

Alors que nous parvenons dans une immense galerie, nous remarquons l’ambiance particulière qui y règne. Là, les arceaux des arcades et des recoins offrent des abris à de nombreux couples qui s’enlacent et font monter la température en y espérant la discrétion… C’est étrange, mais excitant. Ici, un homme caresse une femme en passant la main sous son jupon, là c’est l’inverse, c’est une femme qui au niveau d’un entrejambe a glissé ses doigts. Ils s’affairent d’un geste vif entre les pans du manteau. Souvent, on ne parvient pas à distinguer le sexe ni le nombre de ces duos, triangles voire grappes d’amants. Chacun vaque incognito à ses activités libertines. Les vêtements sont larges et lourds, le capuchon occulte les cheveux et le masque surtout rend les traits du visage méconnaissables, inidentifiables. Des hommes rejoignent d’autres hommes, des femmes d’autres femmes. Nous, nous attendons notre fugitif.

Quelqu’un passe à côté de toi et te chuchote

“Dirigez-vous vers la bibliothèque, au fond de la salle”.

Cette personne disparaît aussi vite qu’elle est apparue. Tu te rends à l’endroit qu’elle t’a indiqué. Un bruit se fait entendre à l’intérieur de la bibliothèque dont deux portes en bois protègent les trésors. Un des battants s’entrouvre à peine. C’est lui. C’est notre ami. Je murmure à ton oreille quelques mots que j’espère inaudibles pour le reste de l’assemblée.

“Ma chérie, je vous en conjure, veuillez soulever votre jupon. Vous devez cacher notre ami entre vos jambes. C’est la seule solution que nous avons trouvée pour le faire sortir d’ici. S’il est capturé il est mort., mais permettez-moi auparavant de vous présenter Giacomo Casanova.”

Giacomo Casanova

L’homme s’incline pour te saluer, et sitôt sa demi-révérence effectuée, il se glisse sous ta robe dont l’étoffe pesante balaye les dalles de marbre. Tu te remets en marche, avec lenteur. Il est difficile d’avancer avec quelqu’un entre ses cuisses mais tu finis par trouver une façon de te mouvoir. A petits pas, nous cheminons tous les 3 dans ce hall immense où nous sommes cernés par les regards sévères des glorieux doges dans leurs cadres et par des gardes armés. 

Par chance, les deux mains du galant homme qui courent sur tes cuisses évitent les chatouillements. Elles te réchauffent même un peu : au XVIIIe siècle, le chauffage par le sol n’a pas encore été inventé …

Soudain une élégante personne surgit devant toi et t’apostrophe : ”Madame, vous ici ! Mais quelle surprise !” 

Peut-être te prend-il pour quelqu’un d’autre, il n’empêche que ce jeune homme, manifestement un castrat, te dévore littéralement des yeux. Il agit comme si vous étiez intimes, ou comme si vous partagiez de longue date quelque commerce galant. Il est très beau, ses gestes sont gracieux, son visage aux traits fins est enduit de blanc de céruse qui fait ressortir le noir de ses prunelles. Le corps de cet être-mirage n’est pas épais, loin s’en faut, mais comme il semble dépasser le mètre quatre-vingt, et que ses vêtements luxueux tout en transparence laissent deviner en certain endroit un attribut bien viril en état d’alerte, tu es toute disposée à la discussion.

Les castrats

“ Vous souvenez vous de moi ? Je suis Camille ! J’étais chez vous le mois dernier. Nous nous sommes rencontrés à l’Opera San Benedetto. J’en ai gardé un souvenir délicieux. Je vous avais fait la promesse de vous narrer l’histoire de la Comtesse Arcangela Bragadin, et le temps pour ce faire nous avait fait défaut. Alors, écoutez, c’est amusant. Mes amis Venanzo et Girolamo qui se produisent de conserve avec moi avaient accepté de passer une soirée avec la Comtesse et… son mari. Ils très furent surpris en arrivant au palazzo de découvrir que Madame la Comtesse tenait son époux en véritable petit larbin. Selon leurs dires elle le faisait courir à quatre pattes, maintenu en laisse dans leur chambre à coucher. Devant ce spectacle surprenant, ses hôtes ne savaient plus qu’elle attitude tenir, et s’apprêtaient à prendre congé lorsque Arcangela les retint. Elle conduisit Venanzo dans une chambre où Monsieur le Comte l’y attendait déjà, les yeux bandés, les mains liées dans le dos… de son propre gré je précise ! Ah ah ah !

Elle referma la porte, se dirigea vers ses appartements et comme de bien entendu s’échoua rapidement sur son propre lit, pour que l’entreprenne le beau Girolamo dont elle apprécie la capacité à.… tenir… longtemps. Hélas, son beau plaisir prit un certain temps à venir et ce malgré les assauts solides et répétés de mon ami… Enfin parvenue quasiment à l’acmé alors qu’elle se sentait partir, un cri l’arrêta net. Son mari, dans la pièce attenante, sous la saillie de Venanzo, avait atteint les plus hautes sphères de la volupté et ce, avant sa femme. Il cria si fort qu’on l’entendit sur l’autre rive du Grand Canal. La Comtesse fut vexée et ordonna derechef à mes amis de ne plus se consacrer qu’à elle, et à elle seule. Le Comte reçut la consigne de se tenir immobile dans son fauteuil, d’où il put comme au spectacle, apprécier la scène orgiaque qui se déroula bientôt sous ses yeux. Elle voulait de la queue, ah diable elle en eut à sa convenance ! En tous ses trous même ! Et c’est ainsi qu’elle aima jouir. Et depuis, pouvez-vous l’imaginer ? Je n’ai plus loisir de jouir, quant à moi, de la compagnie de mes chers Venanzo et Girolamo. Arcangela a fait main basse sur leur temps de récréation … il se dit même que d’autres castrats de la troupe sont invités parfois à leurs soirées… mais moi. Et vous ne pouvez l’ignorer je n’ai d’yeux que pour vous !”

Alors que Camille, volubile, faisait sa gazette tu as senti une bouche commencer à poser des baisers sur tes cuisses…

Tu t’en étonnes tout en t’en amusant. Cependant afin de bien faire comprendre à l’impudent qu’on ne saurait t’imposer quelque caresse que ce soit sans obtenir ton consentement tu tapes du plat de la main dans le giron de ta jupe où l’invité qui s’y cache reçoit le message d’une façon très claire et percutante. Puis, tandis que Camille poursuit son babillage qui semble ne pas vouloir prendre fin tu t’assieds afin d’être plus à ton aise. Son récit t’émoustille quelque peu. Celui qui se dissimule sous tes broderies et tes velours t’oblige à garder les cuisses écartées ; Tu le sens bouger – même malgré lui- contre ton intimité. Sa présence associée au récit libertin du Castrat t’échauffe. Tu ressens les prémices de cette fièvre légère que tu connais si bien : le désir.

Tu guides cette tète inconnue grâce à des mouvements discrets de tes jambes. Ses baisers se fraient un chemin parmi les froufrous de tes jupons. Une bouche invisible s’enhardit et embrasse ton creux poplité là où la jarretière à boucles retient ton bas en soie. Et ça te plait…. Une langue adroite réveille tes lèvres endormies, les fait éclore comme une fleur s’ouvre après la nuit, s’empare de ton bouton qui se dresse effrontément. Comme cela te semble excitant que de te faire lécher en secret au centre de ces hommes qui te font la cour ! La chaleur monte en toi. Je te surveille du coin de l’œil, complice. Je suis certain que notre fugitif est très consciencieux. Il doit mettre tout son cœur à l’ouvrage afin de te témoigner sa reconnaissance pour l’avoir embarqué dans cette aventure Tu le diriges d’une main. Tu n’arrives plus à suivre le fil des conversations alentour. Tu as beaucoup de plaisir… quand soudain.

l’évasion de Casanova

Des gardes vont et viennent en tous sens, apparemment inquiets. On dirait qu’il se passe quelque-chose. La musique s’interrompt brusquement. Camille part aux nouvelles. Il revient bientôt affolé.

“J’apprends à l’instant que Casanova vient de s’évader. Quelqu’un l’a vu se cacher sous les jupons d’une femme ! Vous allez toutes devoir soulever vos robes devant un inquisiteur. J’ai entendu dire qu’il arrive toutes affaires cessantes”

L’heure est grave mais j’ai l’idée d’un stratagème. 

“Venez madame” te dis-je. “Comme ils sont à la recherche d’une femme, c’est vous que nous allons cacher à présent. Vous avez sur vous plusieurs jupons superposés donnez-m ’en un que je m’en serve comme paravent. Notre ami Casanova va sortir de sa cachette, il portera un masque et il va passer votre panier et votre jupe de courtisane honnête. Ainsi Il aura simplement l’air d’un homme à demi travesti pour le Carnaval et on ne lui demandera pas de soulever ses jupons où vous serez dissimulée. »

Dans un coin, nous procédons à l’interversion. L’homme se déploie, il est grand, bien fait de sa personne. Vous échangez un clin d’œil et tu ne te fais pas prier pour te glisser contre ses genoux d’apparence robuste. Un coup d’œil vers la culotte en satin de son habit laisse imaginer que ce qu’elle enveloppe est d’allure plutôt généreuse. Et comme tu t’es laissée entraînée sur les sentiers de la luxure, tu n’as plus qu’une hâte : persévérer sur le même chemin.

Alors que nous tentons discrètement Casanova et moi d’atteindre cahin- caha la sortie, tu as entrepris de glacer ses parties intimes de tes mains fraiches et comme on pouvait s’y attendre, cela ralentit encore davantage sa marche déjà chaotique. 

« Madame » te dit-il « il faut raison garder ! Ce n’est pas que je n’en meure point d’envie, mais… nous sommes dans une situation périlleuse ! Je viens d’être mis au secret durant de longs mois et la présence féminine est ce qui me fit le plus défaut… »

Contre ton visage, se dresse à présent l’organe phallique de Casanova, résolument vertical, prêt à servir. Tu t’en amuses et piques un simple baiser sur sa base. 

« Diablesse… » entends-tu.

Vous vous déplacez tant bien que mal jusqu’à sortir de la salle au nez et à la barbe des gardes toujours à la recherche du fugitif.

En quelques minutes, nous nous sommes éloignés du Palais. Tu jaillis dessous la jupe et nous traversons tous les trois les ruelles saturées d’ombres. Nous sommes plongés à nouveau dans le cœur de cette Venise mystérieuse, à l’atmosphère troublante. Casanova saute souplement dans une gondole. Avant il a tenté de te dérober un baiser mais tu es parvenue habilement à l’esquiver. Tu t’y attendais. Je t’offre mon bras. Ma passion, mon héroïne, je frissonne à tes cotés tu le sais. Surtout ici ! L’air circule rapidement si près du niveau de l’eau !

« Puis je vous conduire en ma demeure ? Nous n’en sommes qu’à quelques pas. »

Tu acceptes. Il n’y a que quelques minutes de marche, trois ou quatre ponts à franchir, un portillon à pousser et deux étages à monter avant d’avoir le loisir de nous allonger côte à côté. Une fois logés dans le creux le plus moelleux du lit, nous rions de ne pas avoir retiré nos masques, mais alors que tu vas ôter le tien, je suspends ton geste ;

« Non… ma princesse… gardons les, nous serons davantage portés par le charme du carnaval, laissons-nous posséder par les fantômes de la ville, laissons les arcanes de ces âmes disparues invoquer le désir. Laissez-moi vous étreindre en silence, et faisons l’amour le plus passionnément du monde. » 

l’amour au XVIIIe siecle

Un lit.

Des draps somptueux.Toi et moi. Le désir. Je me jette sur toi.


Je pense à tout ce temps passé à te regarder au milieu de ces hommes qui cherchaient à te séduire. J’en ai éprouvé la plus vive jalousie car tu es ma beauté et je ne peux m’empêcher de te dire et redire encore. Je suis fou de toi. Je suis fou de toi. J’ai une violente envie de contact. J’ai envie de sentir ta peau nue contre mon corps nu. “Vous me rendez fou le savez-vous ? … donnez-vous à moi. Déshabillez-vous. Non. Déshabillez-moi. En fait je suis tout à vous. Mais… que faites-vous ? Mais pourquoi ces liens ? Ah vous voulez m’attacher les poignets ? Quelle audace madame. J’ai la nette impression que vous vous libérez non ? 
Mais vous me feriez presque mal ! N’ayez crainte c’est délicieux… Cela semble vous ravir de m’avoir ainsi à votre merci les bras levés au-dessus de ma tête attachée aux montants du lit… vous êtes si belle madame, et vos mains sont une source de bienfaits inégalée. J’aime les sentir sur mon torse ou comme maintenant sur mes bras. Bon, regardez comme je vais me détacher, un simple mouvement assez brusque et je serai libre … et hop ! Ah non… il me semble que j’ai sous-évalué la résistance de vos nœuds, en fait ils sont bien solides. Ah mais cette fois ci, regardez ! Et hop à nouveau… diantre. Toujours rien. Cela vous amuse ma beauté. C’est ça calmez moi par vos baisers, admirez la puissance de mon désir pour vous… ma tige si droite, si dressée, absolument résolue. Oh je vous vois descendre… gourgandine… vous la saisissez, vous la flattez, vous l’embrassez, vous me rendez encore plus dur. Comme je vous veux. Comme j’espère pouvoir profiter d’un éclair prolongé de jouissance avec vous. Et là, c’est votre bouche qui me donne envie… comment ça non ? Juste des caresses ? Ah non, vous déposez des baisers sur cette verge prête à vous servir… ma chérie, c’est délicieux de sentir votre sexe se frotter contre ma jambe, mouiller contre mon genou, attendez je remonte ma cuisse entre vos jambes vous offrant un meilleur appui pour vous soulager, vous la serrez plus fort. Diablesse j’ai envie de vous toucher mais je ne le peux point. Et vous qui vous évadez sur ma cuisse. Qu’inventez-vous encore mon amie en remontant votre main ? Vous venez me pincer la poitrine… amusez-vous… je ne ressens aucune douleur quand je bande avec cette férocité… et maintenant cette vue ! que j’aime l’arche sensuelle de vos cuisses ouvertes au-dessus de ma queue dont l’envergure saura vous satisfaire. Vous jouez avec mon gland l’effleurant déjà de vos lèvres … mais cette fantaisie est de courte durée déjà vous vous placez parfaitement au-dessus de ma verge, elle est là en position d’entrée, vous êtes prête à l’engloutir pour que nous nous appartenions, pour que nous ne fassions plus qu’un … je glisse en vous, à peine, ah vous m’avez… sublime chérie dont la vue me ravit. C’est ça baisez-moi, plus fort encore…. Oh mais quelle folie ! Vos mains autour de mon cou. M’étrangleriez-vous ? Oui c’est exactement cela ! Je n’en bande que davantage. Petite inconsciente. Profitez bien de mes coups de bite, ils sont là, rageurs, rien que pour vous ! Je vous veux tant et… l’air me manque. Vous serrez fort, autant avec vos doigts qu’avec votre sexe ! Nous sommes là si sauvagement réunis. Oh… c’est un délice d’être privé d’oxygène de la sorte…” 

Comment procédez-vous? Montrez-moi

… Avec vos deux mains ? Un.. deux… trois.. quatre.. c… oh… Je suffoque presque, belle imprudente. Regarder vos seins est une véritable délectation mais lorsque vous me coupez la respiration ainsi, ma vue se brouille et …ils disparaissent …c’est à la fois effrayant et divin 

Ma tendre amie… et vos hanches qui ondulent, il me semble que vous nagez au-dessus de moi. Vous me faites subir un vrai supplice de Tantale tant mes mains n’aspirent qu’à vous toucher, vous caresser, elles ne rêvent que de vous sentir vibrer, vivre sous leurs doigts… qu’ai-je fait pour mériter d’être attaché de la sorte ? Sachez cependant que mes entraves ne me gênent absolument pas pour vous harponner à répétition. Je soulève mes genoux, j’écarte les jambes, et ce dard, cette queue vibrante, tendue, ardemment gonflée du désir que je vous porte, se soulève et vient cogner au fond de vous. Vous n’imaginez pas à quel point je souhaite vous entendre venir de la plus belle, la plus douce, la plus forte des façons. Je prends moi-même un plaisir infini. Et si finalement baiser était l’activité humaine qui donne à nous voir dans notre plus grande simplicité, si baiser faisait de nous des êtres beaux purs presqu’innocents ? Quand je vous ai contre moi, vous êtes à mes yeux la personne la plus désirable au monde. J’en oublie moi-même tous me défauts, je ne suis plus qu’un homme entièrement dévoué, et qui est entièrement désiré en retour que j’aime ce sentiment de plénitude que je vous le dois. Cette puissance dont vous me faites don, croyez-moi, je suis capable de vous la rendre au centuple par la grâce de ce vigoureux appendice turgescent. Ma princesse je vous veux, je vous ai. Vous avez beau m’étrangler, me griffer, me mordre je n’en tire que du plaisir. Qu’elle est donc bonne votre chatte ! Comme il est doux d’y être invité ! Je rêve que cette union ne trouve jamais de fin. Sentez-moi bien en vous ! Sentez-moi si fort. C’est ça que vous aimez ? Quand j je vous offre toutes mon ardeur, toute mon énergie ? Quand vos jambes s’étirent loin l’une de l’autre, quand votre sexe est échauffé par le pilonnage incessant de ma bite ? Dites-le-moi que c’est ça que vous aimez ! Ne soyez pas timide ni pudibonde, jouez à la catin avec moi sans fausse pudeur ! Laissez-vous guider par ma queue qui assure le bon rythme à notre étreinte Ressentez-vous cette montée ? Ces paliers à franchir ? Sentez-vous comme nous y allons vous et moi, au paradis de la luxure ? Allons, venez, continuez à me serrer le cou très fort

ma queue va bientôt vous délivrer sa semence. Serez. Serrez je vous dis Se… argh….”

Nous sommes transportés illico vers le 7e ciel, ensemble, réunis, les corps assemblés, les esprits désassemblés. Chacun sur son astre céleste. Tu te reposes sur ma poitrine, immobile, gardant toujours mon sexe en toi Le temps s’allonge agréablement. Il me semble que de façon lente mon esprit est gagné par un fourmillement que je ne peux contrôler et qui l’anesthésie. Cette sensation gagne tout mon corps. Les bras toujours retenus aux montants du lit, je m’endors sans pouvoir lutter 

Au matin tu as disparu. Es-tu partie rejoindre le XXIe siècle ? Et moi que va t il m’advenir ? Qui viendra me libérer, avant que je ne sois la proie d’une autre adorable étrangleuse ? 

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une musique relaxante : du romantisme

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coach sexologue : Pauline Martin

coach sexologue : Pauline Martin

C'est quoi votre métier ?

Je suis sexologue et coach de vie. J’accompagne toute personne désireuse de retrouver un équilibre dans sa vie, vivre des relations harmonieuses et/ou vivre une sexualité qui leur correspond.
Pour cela, nous pouvons être amenés, par exemple, à explorer ensemble vos valeurs et besoins, votre rapport à votre corps, vos représentations, vos relations, vos désirs, vos émotions, votre capacité à communiquer, et votre confiance en vous.


Qu'est-ce qui vous a poussé à aller vers cette profession ?

Sans que je m’en rende compte, à l’éveil de ma vie sexuelle, ma sexualité était plus orientée vers l’idée de faire plaisir que de ressentir du plaisir, et je me pensais épanouie comme ça. J’étais une experte de la sur-adaptation aux attentes des autres (pas que dans la sexualité) et peu à l’écoute de mon corps et de mes désirs. C’est sur ce second point que la vie m’a amené à cheminer. Dans une période d’exploration, de reconnexion à mon corps et de questionnements sur les relations, j’ai découvert le travail d’Esther Perel, thérapeute de couple, et celui d’une sexologue australienne. Je trouvais beau leur métier et leur façon de parler de sexualité en tout simplicité. Devenir sexologue m’a paru être une évidence. J’ai eu profondément envie d’accompagner des femmes et des hommes à s’assumer, à se reconnecter à leur corps et à se libérer des injonctions sociales.

Comment se passe une consultation chez vous ?

Aussi bien en présentiel qu’en visioconférence, je vous ouvre un espace d’écoute et de parole libre, sans jugement ni tabou, pour partir à l’exploration de vous-même. Dans cet espace, je vous rencontre là où vous en êtes et je vous accompagne à votre rythme vers votre objectif (retrouver du désir, ressentir du plaisir, etc). Mon travail se nourrit de diverses approches théoriques et pratiques (humaniste, cognitive-comportementale, sexocorporelle, sexofonctionnelle…). Mon approche se veut douce, bienveillante, authentique mais est aussi orientée vers l’action.

Un argument pour recommander l'écoute de podcasts érotiques ?"

Sans le sens de la vue, l’écoute d’un podcast érotique vous invite à vous concentrer sur vos sensations corporelles et à laisser place à votre imagination. C’est une bonne alternative aux supports visuels pornographiques pour développer son imaginaire érotique, éveiller son désir et booster son excitation. Je les recommande à mes client.e.s dans ce sens. Alors, pourquoi ne pas tenter l’expérience ?

sexotherapeute : Marine Perez Drouard

sexotherapeute : Marine Perez Drouard

C'est quoi votre métier ?

Je suis Sexotherapeute analytique certifiée et Coach en CNV (Communication Non Violente)

Qu'est-ce qui vous a poussé à aller vers cette profession ?

La passion de l’Humain et sa psychologie. La passion de la joie, de la vie et de ses plaisirs simples. Et la sexualité, en est un. J’ai un profond désir de déconstruire toutes les idées reçues, les tabous et représentations qui ont fait, et qui font encore du mal à notre sexualité. De pallier à cette méconnaissance due au manque d’information et d’éducation sexuelle qui pèse encore trop lourd dans notre rapport aux autres et à nous-mêmes. J’accompagne des personnes individuellement ou en couple, vers une exploration d’eux-mêmes. Une exploration de leurs émotions, de leurs modes de communication, leurs constructions, leur rapport au corps à la sexualité et l’érotisme, leur multiplicité pour qu’elles se sentent plus libres de se vivre dans ce qu’elles sont. Je les guide vers une sexualité heureuse.

Comment se passe une consultation chez vous ?

En tant que sexotherapeute, les séances durent une heure. A travers l’écoute analytique, à l’ouverture et au non-jugement, j’accompagne les personnes dans la prise de conscience (de ce qui parfois se joue dans l’inconscient), dans la déconstruction des systèmes de pensées jugeantes et limitantes, dans la prise en considération des émotions, dans ce qui ce est présent, là ici et maintenant. Les séances en Sexothérapie peuvent s’articuler si nécessaire autour de divers outils comme la pleine conscience, la CNV (Communication Non-Violente).

Un argument pour recommander l'écoute de podcasts érotiques ?"

Ce qui est incroyable avec l’écoute de podcasts érotiques, c’est que ça enrichit considérablement la fantasmagorie de chacun.e, et ce à travers du contenu divers et varié, toujours safe et inclusif. Il y en a pour tous les goûts, toutes les envies, toutes les sexualités. Ça contribue à nourrir l’érotisme que ce soit en solo ou en duo (ou +) et donc… Améliore le désir! 🔥

Profession sexologue : Virginie Querard-Clarenc

Profession sexologue : Virginie Querard-Clarenc

C'est quoi votre métier ?

Je suis sexologue clinicienne, diplômée de l’université de médecine de Nantes, et thérapeute conjugale. J’accompagne les couples dans leurs problématiques, qu’elles soient intimes ou conjugales. La bienveillance et la neutralité sont de rigueur tout au long de mon accompagnement, dont le but est l’atteinte des objectifs définis ensemble. Quelles que soient les difficultés , il est possible d’évoluer et d’en traiter les causes, afin de vivre une sexualité épanouie, et une vie de couple heureuse. Être en couple de façon stable et heureuse, c’est possible, et cela s’apprend.

Qu'est-ce qui vous a poussé à aller vers cette profession ?

Ma curiosité concernant les rapports humains, les relations entre les hommes et le femmes.

Comment se passe une consultation chez vous ?

Une consultation dure environ 45 minutes. Il s’agit d’un échange, permettant de comprendre l’origine des difficultés , et comment les améliorer. On peut consulter seul ou bien a deux. Le rythme des consultations sera défini ensemble.

Un argument pour recommander l'écoute de podcasts érotiques ?"

Les podcasts érotiques favorisent la stimulation et l’éveil de l’imaginaire érotique, indispensable pour vivre une sexualité épanouie à long terme, et augmenter le plaisir ressenti.