Halloween : entre peur et plaisir

Halloween : entre peur et plaisir


Halloween, c’est le moment dans l’année où on aime frémir, jouer à se faire peur et y prendre plaisir. C’est bien de cela dont il s’agit au final: tirer une joie d’avoir peur.

 plaisir halloween

peur et plaisir avec le son du desir pour halloween


Le Son du Desir a décidé de vous offrir un épisode spécial, idéal pour frissonner sous la couette.

Le Fantastique Fantasme Fantôme, c’est la découverte d’un Airbnb romantique qui se révèle être hanté.

Avec des fantômes ? Oui oui ! Spectres, fantômes, apparitions… tout y est : vous dormirez dans une chambre où d’anciens amants se font toujours entendre à travers les murs.


L’atmosphère frissonnante dévient rapidement érotique, sensuelle, orgasmique!


Découvrez un condensé de cet épisode sur toutes les plateformes de podcast sur toutes les plateformes de podcast ou ci-dessous !

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les femmes et leurs histoires érotiques

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Les femmes qui s’intéressent à l’érotisme sont-elles….?

À quoi pensiez-vous ?
Quelle cliché a-t-il bien pu s’insérer dans votre cerveau à la lecture de ces mots ?

Quand j’ai commencé Le Son du Désir  j’avais beaucoup d’idées reçues sur le desir féminin. Grâce aux auditrices et aux auditeurs de ce podcast, j’ai pu améliorer les audios pour les faire correspondre aux mieux avec leurs besoins.

Aujourd’hui, après près d’une centaine d’épisodes immersifs, j’ai pris la décision d’interviewer celles et ceux qui connaissent le mieux ce podcast : ses abonnés.

Dix interviews, dix confidences, dix échanges où l’intimité se dévoile.

Découvrez à travers les témoignages de nos auditrices pourquoi la découverte des podcasts érotiques a été bénéfique pour leur libido comme pour l’ensemble de leur vie personnelle.

liens vers le podcast pour tous les épisodes :

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femtech et sextech : des sujets d’importance

Femtech et Sextech : des sujets d'importance

Histoire érotique Contes de la vie sexuelle d’un jeune homme romantique

histoire érotique à lire !

Les abonnés à la plateforme Le Son du Désir ont accès aux histoires Contes et Mythes de la Vie Sexuelle d’un Jeune Homme Romantique. Vous souhaitez lire une de ces histoires ? aucun problème ! c’est tout simplement ici :

Celle du Pont Marie

Afin de trouver l’âme-sœur, plusieurs approches sont possibles. La première attitude à adopter est celle de l’attentiste : elle consiste à ne rien faire et à espérer que la providence ou la chance placent chacun sur le chemin de l’autre. C’est un pari casse-gueule ! Il vaut mieux pour la réussite de ce plan présomptueux  avoir été doté de nombreux atouts physiques ou être né sous une bonne étoile. La seconde méthode est celle de l’action et elle a toute ma préférence : il s’agit là de provoquer le destin. Ainsi, souvent par le passé, pour séduire celle qui me plaisait, je suis allé au contact, c’est à dire que j’ai régulièrement fait le premier pas, même timide, mais résolu. 

Des rencontres

Quand j’étais étudiant, c’était à la cafétéria de l’université que je me présentais aux jeunes filles  que j’avais repérées pendant les cours magistraux. Puis, ce fut dans les cafés que j’allais à la rencontre d’inconnues qui répondaient à mes regards  Je me suis lié d’amitié et souvent bien plus que cela avec des dizaines de femmes ravies de faire ma connaissance dans des couloirs de musée, des files d’attente de cinéma, des fumoirs de boite de nuit, des spas de Palaces, des vestiaires de club de gym, des ascenseurs de casinos, des lounges d’aéroport,  des stations-service d’autoroute, des rames de métro, des cabines d’essayage et même des toilettes pour homme. J’ai toujours adoré le moment où les regards se percutent et se détachent aussitôt. Cette seconde où chacun se retient d’esquisser un sourire. Ce laps de temps où tout semble suspendu, qui s’offre au même instant au possible désastre comme à la conquête de la plus belle des promesses, en l’occurrence, celle d’un baiser. Je crois, pour cette seule victoire maintes fois remise en jeu, avoir bataillé sur tous les terrains, éprouvé toutes les situations, mêmes les plus périlleuses, même celles à priori  désespérées. Rien ne m’a jamais enchanté davantage que le gout exquis du danger inhérent à toute entreprise de séduction active. Dans ceci réside la vraie pulsion de vie.  . C’est donc pour en connaitre de nouveaux aspect et pour en ressentir toutes les nuances que je tente d’élargir sans cesse la palette de ce jeu si troublant. C’est pourquoi un jour je me suis mis en tête de me créer un profil sur une application de rencontres en ligne. Je n’ai pas cherché midi à quatorze heures, je suis allé au plus simple, au plus rapide  et j’ai choisi la plus populaire, celle qui permettait de swiper parmi toute une galerie de portraits de femmes généralement accortes, en espérant que certaines me trouveraient à leur goût. 

Essai d’une app de dating…

De fait l’expérience tourna court. : je n’avais pas envoyé valser plus de cinq suggestions de profils quand je m’arrêtais net devant un visage que je crûs curieusement reconnaître  tout en étant certain de ne l’avoir jamais croisé auparavant. De grands yeux, de longs cheveux, un  cou fragile et l’air énigmatique  d’une  Joconde 2.0 retinrent mon doigt au-dessus de  l’écran de mon téléphone. Où pouvais-je avoir déjà rencontré cette fille  dont le charme chatouillait mes souvenirs ? Je tachais d’en remonter rapidement le cours, en vain.  Mon doigt reprit son rythme pour faire  défiler l’ensemble des photos de cette inconnue qui me semblait si  familière. Je connaissais chaque lieu où avaient été fixés ses cinq portraits  : parmi ceux-là, un pont de Paris que  j’avais traversé  de façon régulière il y a longtemps. J’avais nettement reconnu le Pont Marie reliant  l’Ile Saint Louis depuis la rive droite et j’y vis un début d’explication à ce sentiment de déjà-vu. Peut-être avais-je croisé cette silhouette mélancolique lors d’une de ces balades que je faisais souvent à cette époque. Durant  des heures, je pouvais marcher en me demandant, lorsque je surprenais sur moi une œillade discrète, si je pouvais tomber amoureux de la personne qui venait de me la lancer. La réalité est que ce n’était pas une, mais  des dizaines de femmes qui me plaisaient à chaque fois que j’errais dans les rues de la capitale. Et si Celle du Pont Marie avait été l’une d’elles ?  .

Un homme et une femme

Je la contactai donc, sur l’application, en lui montrant l’intérêt que j’avais pour elle, et peu de temps après, par chance, elle  fit de meme avec moi. La sensation  de vivre une rencontre peu ordinaire, son impression d’étrangeté s’accrurent quand je lus le message qu’elle m’envoya : 

« Salut. On se connaît non? »

Troublé,  souhaitant rapidement  dénouer les fils de ce mystère, je lui proposai de convenir  d’un rendez-vous. Je continuais à n’avoir toujours aucune  idée où et comment nous aurions déjà pu, dans un passé proche ou récent, nous aborder. En guise de clin d’œil à sa photo et à mes propres souvenirs, je lui soumis l’idée  de la rejoindre  précisément à l’ endroit au dessus de la Seine où elle avait posé.  

Quand nous nous  y retrouvâmes  deux jours plus tard, l’impression de déjà-vu ne disparut pas. Bien au contraire.  M’envahit alors le sentiment étrange mais réconfortant de pouvoir  renouer avec un être proche qui m’aurait manqué.   Plus étonnant et bouleversant encore, elle m’avoua ressentir la même émotion. Alors que je m’avançai pour la bise d’usage, il s’en fallut de peu pour que je ne l’embrasse sur la bouche, comme si nous formions déjà un couple avéré.  Cela la fit rire, et s’excusa d’avoir peut être involontairement initié ce moment de confusion par un mouvement de tête trompeur. Je l’entrainai pour aller chercher une glace chez Berthillon car il faisait chaud ce jour-là. J’espérais secrètement que le froid brutal d’un sorbet  serait en mesure de  tempérer l’ardeur qu elle avait fait naitre en moi. Nous n’avions pas fait dix mètres qu’elle s’était déjà accrochée à mon bras, se surprenant elle même  de cette envie irrépressible de se rapprocher. Tout semblait  simple, naturel  entre nous, comme évident. Il n’y avait pas de question à poser, pas de gêne qui s’immisçait , pas  d’appréhension. Seule cette idée manifeste, cette petite pensée entêtante que nous étions faits l’un pour l’autre, grandissait entre nous. 

Chez le glacier, elle choisit une glace à la mangue comme j’aurais pu le prédire tandis qu elle me suggérait  le parfum citron, mon préféré.

le coup de foudre ?

Nous primes tacitement le parti  de ne pas  chercher à savoir où nous aurions pu nous rencontrer auparavant.  J’étais bien avec elle, à marcher sur les berges de la Seine en tenant sa main, le soleil nous faisant face. Nos cornets terminés, je pus enfin  a prendre dans mes bras. Je le fis naturellement, elle vint s’y  blottir sans timidité, comme apaisée, rassurée, offrant  son dos à  mon torse,  à mon nez le loisir d’humer le parfum de ses cheveux, à mes lèvres la possibilité  de chuchoter dans le creux de son oreille « tu étais où tout ce temps ? », avant qu’elle ne se retourne et que nos lèvres n’échangent un peu de chaleur   tendre et glacée. Il n’y eut  là encore point de surprise. Tout était spontané, sincère, et délicieux. Il était impossible de nous séparer. Je remis à plus tard ce que j’avais à faire dans la  soirée  afin de pouvoir la passer  avec elle. Après un diner italien chez Marcello où bien entendu  nous nous aperçûmes vouloir chacun commander exactement les même mets, nous partîmes danser dans un club tout proche, où immanquablement  nous fûmes excités par les mêmes sons, bougeant sur les mêmes rythmes, enivrés par les mêmes cocktails.

Une envie incontrôlable 

Nous y fîmes l’amour dans le fumoir déserté, après avoir flirté sur les canapés aussi longtemps qu’il avait été  tolérable de le faire avant de  plonger dans l’interdît. Nos mains avaient parcouru tout ce que nos peaux donnaient  à voir et à  caresser , jusqu’à ce qui leur  paraissait même  hors de portée. Là aussi , pour ne rien changer, nous nous entendions admirablement p sans quasiment nous  parler, notre connivence était totale, l’accord de nos  corps,  parfait . Je devinais où la toucher pour l declencher chez elle   une pluie de  plaisir, elle me prodiguait  les gestes et les mots que j’attendais pour faire éclater  le tonnerre irrévérencieux qui grondait en moi. Les basses de la piste de danse remontaient jusque dans cette petite salle. Là proies d’ une obscurité rougeoyante et de parfums de tabacs froids se faisaient face  deux fauteuils Chesterfield ainsi qu’un petit bureau sur lequel elle grimpa. Elle était belle, sur ce plateau de bois, offerte, mini-jupe sur les hanches, scrutant la porte d’entrée pendant que  j‘œuvrais en elle en respectant le tempo du son hypnotique qui nous était livré. Quand elle referma ses jambes derrière moi je sus  que c’était ainsi que j’avais toujours voulu être emprisonné, exactement de cette manière.. Je l’ai portée à bout de bras pour la faire glisser sur ce que j’avais de plus dur comme précisément  elle l’espérait, comme  absolument, elle l’attendait . Rien dans nos gestes  n’était trop lent ou  trop rapide.tout s’agencait dans une rare harmonie nous satisfaisant et l’un et l’autre.  Elle me parlait à  l’oreille y glissant  les mots les plus indécents qu’elle pouvait prononcer, dechiquetés  entre deux soubresauts de nos corps imbriqués . Par quelle prémonition, par quelle intuition avait elle su  que mon excitation augmenterait en  entendant , ces paroles là et non  pas d’autres ? à ? Comment avais-je pressenti  qu’elle n’attendait qu’une caresse plus transgressive  que les autres, plus centrée et plus profonde dans le plus intime de ses orifices pour se laisser embraser par la foudre d’un plaisir affolant  qui n’allait  en rien calmer nos débordements  incivilisés? Quelle importance ? Elle se mit à crier en mordant mon bras pour étouffer le volume de sa voix éreintée par la jouissance. Je ne m’arrêtais plus de faire bouger mes hanches. Je savais qu’il lui en fallait davantage bien avant qu’elle ne m’ordonne de lui accorder plus de ma personne. « Continue… continue ! » me lança-t-elle en sanglotant des larmes orgasmées. Comment aurais-je pu faire autrement ? Rien ne me retenait. J’étais à elle. Une tête ou deux était apparue  à l’entrée du fumoir, mais  nous n’en avions eu cure. Elles  n’avaient dû voir que mon cul et une paire d’escarpins qui enserraient mes cuisses jusqu’à en faire rougir la peau. Elle voulait jouir au plus fort. Je collai mes lèvres contre les siennes et  serrai son dos pour redoubler d’intensité, verrouillant davantage  l’étau de notre etreinte là où nous étions reliés. C’était moi qui grognait le plus à présent, saisissant avec force ses hanches qui m’obsédaient. Il n’y avait plus que nous deux sur terre et nous nous retrouvions. Où l’avais-je vue précédemment ? A quel moment ? Pourquoi ne l’avais-je pas reconnue ? Comment s’appelait-elle cette fois-ci ? Peu importe. Elle m’avait tant manqué que j’étais heureux de l’avoir à nouveau à moi . C’était elle et pas une autre. C’est  en lui criant « toi » que je vins délivrer l’éclair qui allait mettre fin  temporairement  à l’agitation qui nous rendait captifs. Je sentis alors une chaleur tiède émanant d’elle envelopper mon sexe. C’était comme s’il avait fallu que son corps échange avec moi, apporte sa réponse liquide  à la mienne. Tout le plaisir avait été vécu, et vaincu. Nous abandonnâmes alors le bureau, marqué par nos fluides, je jetai dans la poubelle mon préservatif, et nous regagnâmes le bar, pour finir de nous étourdir l’un contre l’autre. Elle était enfin là. Celle que j’attendais. Pour quelques temps au moins.

Elle et moi

J’avais sans doute tellement envie de faire correspondre mes désirs et fantasmes avec la réalité qu’il est possible que le souvenir même que j’en ai gardé ne soit pas totalement objectif. Ce dont je me souviens vraiment c’est cette question qui me taraudait l’esprit quand Celle du pont Marie se lovait tout contre moi : Recherchait-elle l’amour parfait quand j’étais moi à la poursuite de l’amour perdu ?

Alexis Himeros

Maia Mazaurette (Quotidien): les coulisses d’un podcast érotique

Maia Mazaurette dans les coulisses du podcast Le Son du Désir

Pour les besoins de son documentaire ”Désir, ce que veulent les femmes“ (TMC) Maia Mazaurette (Quotidien – Le Monde) est venue backstage, découvrir les secrets de fabrication du podcast érotique Le Son du Désir.

La journaliste est restée plusieurs heures en studio avec notre équipe, pour assister à l’enregistrement d’un épisode “Allo ma chérie”. Ainsi Elle s’est prêtée au jeu et on en a profité pour lui dévoiler quelques secrets de fabrication ! 

C’est en effet dans un studio d’enregistrement parisien que la rencontre a eu lieu. Pendant 3 heures, l’épisode “LES 5 RAISONS DE LA PASSIONa été créé sous ses yeux. Les caméras de son équipe ont ainsi pu saisir des moments privilégiés et constater des techniques d’enregistrement d’Alexis et son équipe.

Cet audio est une déclaration tendre et passionnée à la femme qui écoutera ces mots brûlants interprétés avec douceur.

Backstage, avec Maia Mazaurette, ce fut également l’occasion d’une interview pour mieux comprendre l’histoire et les motivations du podcast Le Son du Desir

Maia Mazaurette au coeur du sexe féminin

Maïa Mazaurette, l’experte en sexualité de l’émission “Quotidien”, a sondé des femmes issues de divers milieux  quant à leurs désirs, leurs fantasmes et leur sensualité.

Pour regarder le documentaire,

c’est sur le site de TF1 que ça se passe !

ou regardez cet extrait :

écoutez l'épisode enregistré avec Maia Mazaurette épisode ici !

le Son du Désir est un podcast qui présente les teasers de la plateforme de livres audio Le Son du Désir. Disponibles sur abonnement mensuel ou annuel, les histoires érotiques et romantiques entrainent leurs auditrices ou leurs auditeurs à travers une centaine d’aventures riches en rebondissements sensuels.

Pourquoi le mot PORN me rend triste.

Pourquoi le mot PORN me rend triste.

Vous avez surement déjà croisé ce terme éloquent, FoodPorn, qui désigne des photos esthétisantes de nourriture, généralement en gros plan. Ce phénomène pas si récent s’est accru avec les réseaux sociaux et s’est transformé pour donner naissance à d’autres genres de passions photographiques zoomées. Sont nées le CarPorn (pour les voitures) le GunPorn (pour les armes) le RuinPorn (pour les maisons délabrées) et même le VinylPorn pour les fans de disques vinyles.

Vous l’aurez remarqué au premier coup d’œil, tous ces mots ont quatre lettres en commun : le P le O le R et le N. 

On aurait pu écrire FoodFan, Food Lover, FoodAfficionado, FoodAddict, FoodAdmirer, voire même FoodEnthusiast mais non. La ferveur populaire s’est emballée sur le mot qui désigne la représentation de l’obscène pour le rendre synonyme d’amour, de passion, et d’admiration de toute chose.

Des scènes aux allures de fin du monde

Le genre porno, c’est quoi ? C’est surtout Pornhub et ses clones : une représentation avilissante de la sexualité, un monde de soumission, d’asservissement, d’esclavage même (il suffit de suivre la formidable enquête du journal Le Monde sur la production porno en France pour s’en rendre compte), où la violence est reine.

Même si avec le FoodPorn on est à des années-lumières de tout cela, écrire PORN dans un mot pour qualifier quelque-chose de positif, c’est rendre légitime tout ce qui se cache derrière ce terme.

C’est pour cela que chez Le Son du Desir, nous militons contre le terme Audio Porn. En aucun cas nous ne souhaitons valider ces pratiques dégueulasses qui ont participé à construire le genre porno depuis des dizaines d’années. 

D’aucuns diront « Mais pas tout le porno… y’en a des biens » Bien sûr, mais c’est comme beaucoup de choses. L’écrasante majorité de ce qui construit ce genre porté aujourd’hui par la vidéo est gangréné par des dérives qui ont entrainé des viols, de la torture, du proxénétisme, et qui participent activement à répandre une vision de servilité de la femme, tout juste bonne à procurer du plaisir à son homme.

Accepter le terme AudioPorn c’est approuver ce que représente le porno et tolérer ses dérives. C’est dire « c’est pareil mais avec du son ».

Or, c’est tout sauf pareil. Le divertissement sensuel pour adulte doit être éthique, honnête, respectueux… et bien sûr excitant !

Alors AudioPorn ? non. Nous faisons des audios sensuels, intimes, érotiques.

Rendons à l’érotisme son vrai sens premier : aiguiser l’imaginaire de la passion du vice mêlé à la vertu !                      

Et puis… FoodErotica, ça a quand même plus de classe, finalement !

Pourquoi les histoires érotiques font vibrer Google ?

Pourquoi les histoires érotiques font vibrer Google ?

Une rapide recherche sur google nous apprend que chaque mois, environ 110 000 recherches en France se portent sur le thème des histoires érotiques. Un chiffre loin d’être anodin pour un genre qu’on ne revendique pas facilement lors des discussions entre amis. 

Google

Impossible de ne pas citer la saga fifty shades of grey (cinquante nuances de gris) d’EL James et ses 125 millions d’exemplaires vendus pour justifier du phénomène d’attraction qui perdure jusqu’à notre époque. Impossible non plus de ne pas évoquer le Quantique des Quantiques qui a traversé les siècles, ou la renommée sulfureuse du Marquis de Sade dont le nom a donné naissance au mot sadisme quinze ans à peine après sa mort en 1814. La littérature érotique séduit, charme, et  s’est révélée être une passion pour bon nombre d’entre nous.

Les films les plus vus ou débattus sur les plateformes de streaming vidéo comme Netflix ou Prime ? Des créations entre romance et érotisme, comme 365 DNI ou Sexlife. Celles-ci s’inspirent directement de ce qui fonctionne en matière de littérature populaire.

Un petit tour sur Doors (ex – Rocambole) nous montre qu’une histoire étiquetée “sexy” s’est hissée dans le Top 3 des oeuvres consultées sur cette plateforme de lecture en streaming. Là-aussi, le genre captive.

Même constat du côté des ebooks kindle : la dark romance est en tête des ventes malgré les clichés sexistes exposés sur les couvertures de ces produits.

Top 3 kindle amazon novembre 2021

Quid des livres audio et des podcasts ?

Quid des livres audio et des podcasts ? Ça avance… doucement ! La faute aux habitudes de consommation de ce type de divertissement (l’audio) qui progresse péniblement en France.

Le Son du Désir offre plusieurs créations exclusives sous la forme d’histoires à écouter. Après les 7 leçons du Desir, la nouvelle série “Contes et Mythes de la Vie Sexuelle d’un Jeune Homme Romantique” se fait une place grandissante auprès des abonnés. Ici, pas de couverture aguicheuse, mais une promesse : du respect, de la bienveillance et… du sexe bien sûr !

Mais pour cette raison, le sexe, aucune publicité ne peut soutenir cette création sur les réseaux sociaux ! Facebook, Instagram et Twitter ont des algorithmes simples et puissants qui “lisent” chaque publicité : Tout ce qui évoque le plaisir sera banni. Tout simplement. Les mots “érotisme, charme, sensuel, sexy” sont autant d’alertes pour les moteurs de ces machines à clics. Ils renvoient aux oubliettes toute sorte de création de ce type, fut-elle éthique, anti-sexiste, ou non-déviante.

Il eut été simple de ne pouvoir les présenter qu’à un public majeur (et vacciné) ayant au préalable accepté de recevoir des annonces publicitaires réservées au + de 18 ans. Mais non.

C’est comme si l’érotisme s’effaçait au profit de la pornographie sexiste. Dommage pour un genre pourtant si recherché !

Meditation et relaxation

Meditation et relaxation

Avez-vous déjà fait de la meditation ou de la relaxation sous l’océan ?


Underwater : méditation sous-marine est le nouvel audio de détente, au concept inédit disponible sur Le Son du désir (catégorie Les Bonnes Nuits). 

Nous avons eu l’idée de vous bercer par les sons doux et cotoneux de l’océan dans une expérience audio sous-marine inoubliable.

Toute l’expérience est en écoute via le précieux lien d’accès VIP Le Son du Désir !
https://www.lesondudesir.fr/

Un podcast peut vous aider à gagner en confiance !
La confiance en soi s’acquiert en s’autorisant des instants de pause, de détente dans la journée. Prenez-les !

Si vous êtes d’humeur joueuse, nos histoires immersives (catégorie VOYAGES ÉROTIQUES) sont l’idéal pour vous accompagner dans ces moments. 

Sur Le Son du Désir, nous vous proposons aussi des audios de relaxation, ils s’appellent Les Bonnes Nuits. Ces audios inédits vont vous permettre de faire le vide dans votre tête et d’être plus disponible pour vous donner de l’amour. 

Autre petite astuce : Ayez de la douceur et de la tendresse pour vous-même ! 
On a souvent tendance à se flageller, à ne jamais trouver assez bien qui nous sommes ou ce que nous faisaons. Ne soyez pas extrême ! Le bien attire le bien : qui s’aime bien développe de la positivité à son plus !

En conclusion, la confiance en soi s’acquiert avec des petites attentions quotidiennes envers vous-même. Mais n’oubliez pas : zéro pression ! Chacun son rythme…

Et surtout, prenez soin de vous !